Transcription - Renforcer la position du Canada en tant que chef de file de la 5G et de l’innovation numérique
Renforcer la position du Canada en tant que chef de file de la 5G et de l’innovation numérique
Aujourd’hui, on est ici pour parler d’un projet de collaboration avec Nokia, qui a pour but de faire progresser la recherche et le développement pour la technologie 5G. Les réseaux sans fil 5G jouent un rôle essentiel dans plusieurs aspects de notre vie, comme le travail, les achats qu’on fait en ligne et les communications avec nos proches. Des réseaux efficaces, c’est aussi important si on veut faire du progrès dans des secteurs comme les technologies propres, la médecine et l’agriculture. L’avenir vert, l’avenir de l’économie du savoir, ça ne se passe pas sans le numérique, sans la connectivité que Nokia et d’autres sont en train de faire.
C’est une annonce emballante qui nous aidera à faire avancer la technologie 5G. Ce projet porte sur la recherche et le développement novateurs en matière de technologies, qui sont menés ici même au Canada et qui créent des occasions, notamment pour nos jeunes talentueux. Mais, plus précisément, c’est un projet qui permettra d’établir un carrefour de recherche et développement de calibre mondial pour transformer les technologies sans fil sur lesquelles nous comptons au quotidien. Ce projet aidera à offrir un avenir plus fort aux Canadiens, et c’est pourquoi notre gouvernement est ici, aujourd’hui, pour le propulser.
Notre gouvernement est en train de bâtir une économie forte et compétitive pour l’avenir et on continue de mettre les Canadiens au cœur de tout ce qu’on fait pour créer de bons emplois.
En investissant dans cette nouvelle technologie, on aide à mettre en circulation les technologies auxquelles les Canadiens s’attendent dans un monde qui se transforme rapidement. On crée également des occasions dans l’ensemble du secteur des technologies au Canada. D’une part, cela nous liera encore plus les uns aux autres et, d’autre part, ce projet devrait créer plus de 340 bons emplois dans ce secteur en plein essor où les salaires sont avantageux. Il permettra également d’offrir plus de possibilités de stages à des étudiants postsecondaires. Comme Pekka le disait plus tôt, le quart des postes de travail, ici, est occupé par un stagiaire qui apprend et s’épanouit. Et cet engagement à encadrer la relève et à assurer la diversité au sein de cette main-d’oeuvre – comme de veiller à ce que la moitié des postes de stagiaires soient occupés par des femmes – est très important non seulement pour bâtir une société plus juste et équitable, mais aussi pour l’excellence des produits et de la recherche.
En perfectionnant les capacités de la 5G du Canada, notre économie en tirera profit. En effet, la 5G a le potentiel d’ajouter 40 milliards de dollars à notre économie chaque année d’ici 2026.
Cette annonce s’inscrit dans une série d’annonces que l’on a faites au cours de la dernière année. D’abord, au printemps dernier, François-Philippe, Doug et moi sommes allés chez Stellantis et d’autres entreprises du secteur de l’automobile pour parler de véhicules électriques, pour parler de la chaîne d’approvisionnement des batteries.
Pas plus tard que la semaine passée, on était chez Rio Tinto à Sorel, au Québec, pour parler des investissements importants dans une chaîne d’approvisionnement verte pour les minéraux critiques, dont le secteur de l’automobile a besoin.
Jeudi ou vendredi, j’étais à Hamilton pour y rencontrer les gens de Dofasco, où les investissements que le gouvernement provincial et le gouvernement fédéral réalisent pour que l’entreprise abandonne le charbon ne vont pas seulement assainir notre environnement, assainir notre air, mais faire en sorte que le Canada et l’acier vert produit au Canada resteront concurrentiels à l’échelle internationale et que le Canada prendra les devants, dans le monde, dans la production des processus plus propres et de meilleure qualité dont le secteur de l’automobile d’ici et les industries du monde entier ont besoin de manière générale.
À la fin de l’été, on a accueilli Olaf Scholz à Terre-Neuve pour parler de l’économie de l’hydrogène qui prend forme au Canada, au moment où notre pays développe cette industrie afin de devenir le fournisseur d’énergie du monde carboneutre, dans les prochaines décennies. Le Canada est remarquablement bien placé pour le devenir et jouer ce rôle essentiel. Mais, bien entendu, aucune de ces technologies de pointe n’est possible sans le type de connectivité dont on est venus discuter aujourd’hui. Et ce ne sont pas seulement les secteurs de hautes technologies, la production d’hydrogène ou la fabrication de véhicules électriques juste-à-temps qui ont besoin de connectivité instantanée.
Vendredi, j’ai visité une ferme dans les environs de Kitchener, et il fallait voir la technologie qui y était nécessaire – que ce soit des détecteurs sur les vaches laitières pour surveiller leurs battements cardiaques, leur taux de rumination et leur emplacement, voir à quel stade elles en sont, mesurer avec précision la quantité d’engrais à épandre et déterminer le lieu de l’épandage au moyen de la géolocalisation. À l’avenir, il faudra absolument tenir compte de la nécessité de tout connecter pour obtenir une efficacité maximale, une productivité maximale et des retombées maximales, pour réduire le gaspillage au maximum et utiliser juste ce qu’il faut d’énergie.
Le Canada a d’extraordinaires ressources naturelles, et nos avancées dans le domaine des minéraux critiques et de l’énergie sont nécessaires au reste du monde en ce moment même – parce qu’on le fait dans le respect de l’environnement, de manière durable, en fonction de normes du travail de grande qualité et en offrant une bonne qualité de vie aux travailleurs, ce qui nous différencie complètement d’autres endroits du monde. Mais, en plus de cela, les avancées du Canada dans le domaine des communications et des technologies numériques ainsi que son leadership mondial en matière d’intelligence artificielle et de technologies quantiques : ce sont des avancées et la connectivité que l’on obtient grâce à la 5G et, éventuellement, à la 6G, et cela se passe ici même au Canada.
Nokia est ici, aujourd’hui, en raison du travail que les Canadiens font depuis des décennies, mais particulièrement depuis les dernières années et qui nous donne la possibilité d’être un chef de file mondial dans tous les domaines qui seront essentiels pour le reste du monde dans les prochaines années. C’est pourquoi cette annonce est aussi importante, c’est pourquoi les Canadiens partagent une vision d’avenir aussi optimiste, malgré les problèmes qui existent dans le monde – une vision qui place le Canada dans une position exceptionnellement favorable pour les prochaines années.
Aujourd’hui, c’est un autre exemple du travail qu’on fait pour stimuler les investissements dans l’ensemble de l’économie et s’assurer que tous les Canadiens en profitent.
Les entreprises comme Nokia continuent d’investir dans le Canada parce qu’elles savent qu’on a le talent et la vision d’avenir dont elles ont besoin. On a bien hâte de voir tout le potentiel de ce projet, et on va s’efforcer de créer et d’attirer des emplois bien payés pour la classe moyenne de tout le pays, tout en bâtissant une économie profitable à l’ensemble des Canadiens. Merci beaucoup, tout le monde.