Transcription - Allocution à un point presse conjoint avec les premiers ministres des pays nordiques
Allocution à un point presse conjoint avec les premiers ministres des pays nordiques
Eh bien, merci Katrín de nous accueillir dans cet endroit magnifique. Je suis ravi d’être de retour en Islande, mais surtout de pouvoir discuter avec des amis aux vues similaires et aussi doués que sont les pays nordiques. On a la nordicité en commun. Des valeurs en commun. Notre vision similaire du monde nous aide à surmonter nos défis et ceux de nos citoyens et d’autres peuples, alors nos conversations ont vraiment été constructives et productives. On a abordé une grande diversité de sujets, notamment la sécurité, qu’il s’agisse de la situation en Russie ou de la menace que représentent les changements climatiques, en particulier dans l’Arctique. Nos conversations ont traité de ce qu’on fait pour se tenir debout, en tant qu’alliés de l’OTAN, face à l’agression russe en Ukraine, mais aussi des répercussions sur la sécurité en Arctique et des moyens à prendre pour défendre nos populations.
On a parlé des questions autochtones. On a parlé d’une variété de défis qu’on a en commun et pour lesquels on pourrait mieux coordonner nos efforts et mettre à profit nos forces et solutions respectives.
Le Canada est reconnaissant d'avoir eu l'occasion de rencontrer nos alliés comme cela pour parler de bâtir une économie propre, lutter contre les changements climatiques et garder un monde plus en sécurité, particulièrement étant donné les actions de la Russie récemment, défendre les droits, les capacités et les protections pour tout le monde, y compris les femmes, la communauté 2ELGBTQI+. Ce sont des enjeux sur lesquels nous sommes alliés.
Bien entendu, c’était simplement une occasion de travailler une fois de plus avec nos amis aux enjeux auxquels tous nos citoyens sont confrontés et pour lesquels il existe des solutions mondiales et de nous assurer de travailler avec les partenaires avec lesquels on a le plus d’affinités afin d’obtenir des résultats pour nos populations et celles du monde entier. Alors, merci encore de m’avoir invité, Katrín.