Bonjour, tout le monde. Alors, la dernière fois que je suis venu ici, au Club des garçons et filles de Scarborough-Est, était en mars 2020, juste avant la pandémie. Le monde a changé au cours des quatre dernières années, mais l’équipe continue de faire un travail remarquable, alors merci, Utcha, et toute ton équipe pour le merveilleux travail que vous faites ici pour les jeunes et pour la communauté à Scarborough.

Je suis très heureux d'être ici, à Scarborough, avec la vice-première ministre Freeland, les ministres Sudds et Ien, le député de la circonscription, John McKay, et les autres membres de notre équipe, dont Julie, Nate, Ryan, Mark et Jean. On est ici aujourd'hui pour parler de ce qu'on fait pour soutenir les enfants et les familles.

Aujourd'hui, c’est le lundi de Pâques. Durant la longue fin de semaine, beaucoup de gens ont passé du temps avec leur famille et partagé ensemble de bons repas et, autour de la table de cuisine, beaucoup de gens ont parlé du prix des aliments qui est encore trop élevé. Demain, les enfants vont retourner à l’école et certains d’entre eux n’auront pas suffisamment à manger.  Cela a des conséquences sur leur santé et sur leurs possibilités d’apprendre et de grandir.

Et comme on l’a dit la semaine dernière, le budget de cette année, qui sera déposé bientôt, sera totalement axé vers l’équité, l’équité pour chaque génération. Et cela, bien sûr, comprend les enfants et les familles et commence avec eux. On veut tous que les enfants aient le meilleur départ possible dans la vie, y compris les plus vulnérables. Voilà pourquoi on investit 1 milliard de dollars dans la mise sur pied d’un programme national d’alimentation scolaire qui va fournir des repas à 400 000 enfants de plus par année, au-delà de ceux que desservent déjà des programmes actuels.

(Applaudissements)

On va travailler avec les provinces, les territoires et nos partenaires autochtones pour veiller à ce que chaque enfant ait l’alimentation dont il a besoin.

On va investir 1 milliard de dollars à travers les provinces, territoires et communautés autochtones pour augmenter les programmes d'alimentation scolaire et offrir des repas à 400 000 enfants de plus  chaque année. On va aider les enfants en s'assurant qu'ils ne passent pas la journée à l'école le ventre vide et, en même temps, ça va donner une tranquillité d'esprit et un soulagement aux parents et aux grands-parents.

On sait tout simplement que quand les enfants mangent mieux, ils réussissent mieux à l’école. Les enseignants, militants et bénévoles à qui j’ai parlé aujourd'hui le savent, et c’est une réalité que j'ai gardée à l'esprit depuis les années que j’ai passées à enseigner. Quand un enfant arrive avant les classes en disant qu’il a faim, ça veut dire que chacun de nous a encore du travail à faire, autant les milieux scolaires que notre pays et notre monde. On veut que tout le monde soit en mesure de manger adéquatement pour pouvoir atteindre son plein potentiel.

Le programme national d'alimentation scolaire vient s'ajouter à nos investissements générationnels pour aider les familles et rendre la vie plus abordable à travers le pays.